Le mois de mai a été dense en action culturelle ! Dans notre quartier, dans les écoles ou auprès de partenaires socio-culturels, de multiples projets ont été développés et sont toujours en cours de travail. Ils évoluent au grés des rencontres et des occasions pour être au plus proche des publics et de nos partenaires. À l’heure estivale, c’est aussi la rentrée et la saison prochaine que l’on peaufine en coulisses.
D’ici là, retour sur quelques-unes des actions qui marquent les prémisses de cette nouvelle floraison
DANS LES ÉCOLES
Jeudi 5, mercredi 10 et jeudi 12 mai, deux équipes artistiques se sont glissées en école, au plus près d’élèves de maternelles et élémentaires.
Avec Baribulles tout d’abord, Ronan le Gouriérec a exploré toute une palette de bulles sonores, soufflant, frappant et modulant à souhait les possibles de son saxophone baryton. Face à lui, des spectateurs.trices plus petit.es que son instrument des écoles maternelles de Rue Noire et Joseph Blanchart.
BARIBULLES
Plongé dans un univers baryto-démonté, Ronan, muni de ses yeux d’enfant, s’interroge sur tous ces éléments barytonesques. Une anche, des z’anches, un bocal, des bocaux, un bec, un gros bidule doré, des touches… Tout ce matériel semble être une petite provocation à l’expérimentation sonore.
Le jeu de découverte et d’assemblage commence et les bulles musicales apparaissent. Des petites qui claquètent, des grosses qui barrissent, des moyennes qui éclatent, des bulles qui chantent, des bulles qui soufflent, des bulles percussions…
Les élèves de cycle 2 de l’école Anatole de Monzie ont quant à eux accueillis dans leur salle d’activité le trio Encres Sonores. Moment de poésie suspendue pour cette immersion au cœur d’un univers qui se joue et se dessine en direct : autour du dessin de Christophe Forget, saxophone et machines de Julien Behar et la basse électrique de Stéphane Decolly.
À suivre
Des projets à venir de la maternelle à l’université, avec la complicité de nombreux partenaires..