VINCENT COURTOIS, FINIS TERRAE
Bannec, sur cet îlot sauvage d’où les tempêtes d’hiver balaient toute vie, quatre hommes viennent passer l’été, séparés du monde, pour pêcher le goémon.
C’est du Finistère que le violoncelliste Vincent Courtois nous parle. Au travers de ses compositions, tantôt joyeuses, tantôt mélancoliques, il nous donne à entendre une musique d’une grande profondeur.
Force de la mer, rochers abrupts, terre sauvage: FINIS TERRAE !
C’est du Finistère que le violoncelliste Vincent Courtois nous parle. Au travers de ses compositions, tantôt joyeuses, tantôt mélancoliques, il nous donne à entendre une musique d’une grande profondeur.
Force de la mer, rochers abrupts, terre sauvage: FINIS TERRAE !
Qu’il fait bon se laisser porter par cet univers marin décrit par le musicien, dans cette orchestration qui sert de socle au film muet de Jean Epstein réalisa en 1929 avec les habitants d’Ouessant.
La musique est à l’image de cette île : rugueuse…
Il faut prendre le temps d’écouter cet album, il vous fera pénétrer dans un univers envoûtant.
AVEC
Vincent Courtois : violoncelle, compositions / Sophie Bernado : Basson / Robin Finker : clarinette, sax ténor / Janick Martin : accordéon / François Merville : batterie
